Un
enfant a d’autant plus de devenir fumeur que ses parents ne le sont .Quand
les parents fument un jeune sur deux fume ; quand aucun des parents ne
fume un jeune sur trois seulement est fumeur. Malheureusement la cigarette la cigarette
des parents favorise l’entrainement mutuel au sein de la famille 40% des jeunes dont les parents
fument –ils en famille contre 25% des jeunes dont les parents ne fument pas
.Dans la famille des fumeurs le rôle du père renforce la signification adulte de la cigarette
.Parmi les parents d’enfant âgées de 12 à 18 ans,63% des pères fument, contre
seulement 24% des mères .La responsabilité de l’environnement familiale dans la diffusion du tabagisme chez les
jeunes ,se ressente sur plusieurs plans.
Par le
spectacle valorisant qu’il lui est
donné pendant des années ; alors
qu’il n’en rétablit que les à-côtés négatifs. L’attribut actuel de la cigarette
est d’autant plus fort qu’il n’est incarné par ses propres parents. Le risque
est fonction des différentes leçons
d’être un parent fumeur.
Les parents sont autoritaires de leur interdiction plus
qu’en cela ne risque que les parents
sont priés, libéraux, le jeune tiendra à fumer d’une manière
occasionnelle. Si les parents vivent leur activité tabagique dans le
conflit ; le comportement de l’enfant va dépendre des relations qu’il
entretient avec eux, pouvant soit les aider à se défaire de l’habitude dans une
espèce de complicité antitabac soit devenu lui-même un gros fumeur en leur
faisant des reproches virulentes.
Naturellement,
les parents non-fumeurs ne sont pas à l’abri de voir leurs enfants fumer, ce
d’autant plus qu’ils sont très autoritaires. Les parents anciens fumeurs qui ne
font pas de leur obtention un discours édifient, moralisateur ; ceux qui
n’ayant jamais été concernés par la cigarette et qui sont plus libéraux ont peu
de chance d’avoir des enfants fumeurs ou en tout cas fumeurs réguliers plus que
tout, c’est l’exemple qui compte.
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